La Mission économique et commerciale de la francophonie a débuté ce 6 juillet à Libreville. En attendant l’ouverture officielle, dans 24 heures, les participants ont eu droit à des rencontres de prise de contact informelle.
Le directeur général de l’Agatour, Christian Mbina, faisant son exposé. © Facebook/Agatour.Gabon
Opportunité pour mieux comprendre l’environnement d’affaires, les spécificités et les enjeux d’investissement au Gabon, grâce aux visites de terrain auprès des entreprises locales et aux échanges d’expériences et de partage de perspectives d’affaires mettant en avant les spécificités et les enjeux des secteurs ciblés, la Mission économique et commerciale de la francophonie a débuté ce 6 juillet à Libreville.
Pour la première journée de cet événement réunissant environ 250 entreprises locales, plus de 110 entreprises et acteurs économiques provenant d’au moins 30 pays de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), les participants ont eu des rencontres des prises de contact informelles, à l’exemple de la présentation des opportunités qu’offrent le Gabon dans le domaine touristique, faite par le directeur général de l’Agence gabonaise de développement et de promotion du tourisme et de l’hôtellerie, Christian Mbina.
Le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion des investissements (ANPI-Gabon), Ghislain Moandza Mboma est intervenu sur la thématique «Investir au Gabon aujourd’hui» pour présenter l’ensemble des réformes et opportunités qu’offre le Gabon en matière d’investissement.
L’agenda prévoyait également des séquences de rencontres d’affaires en format Business to Business (B2B). Elles concernent le secteur de l’agro-industrie, des énergies renouvelables et des biens et services numériques. Les acteurs de cette mission se sont également rendus à la Zone économique à régime privilégié (Zerp) de Nkok pour s’imprégner des activités en vue d’éventuels partenariats.
Si au terme de cette mission, le Gabon espère en tirer avantage pour accélérer la transformation et la diversification de son économie, la mission devrait, de même, «apporter aux entreprises de tout l’espace francophone un soutien à une croissance durable en valorisant leur potentiel économique, technologique et financier en Afrique centrale et au-delà, tout en capitalisant sur les liens privilégiés et les avantages comparatifs du partage d’une langue commune».
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