Présent dans la capitale gabonaise dans le cadre des activités du Conseil mondial pour la tolérance et la paix qu’il dirige, Ahmed Mohamed Aljrwan était l’invité spécial du président de l’Assemblée nationale à l’ouverture de la Session 2022-2023. Il n’a pas tari d’éloges à l’endroit du Gabon pour la promotion de la paix et de la tolérance, le 4 octobre, lors de la signature du mémorandum d’entente avec cette chambre du parlement pour la consolidation de ces acquis.
Le président de l’Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, et le président du Conseil mondial pour la tolérance et la paix, Ahmed Mohamed Aljrwan, invité spécial de cette chambre du parlement à l’ouverture de la session 2022-2023, ont signé, le 4 octobre, à Libreville un mémorandum d’entente visant la promotion de la tolérance et de la paix, mais également pour l’échange mutuel de bons procédés.
Alors que les députés du Gabon ont fait leur retour dans la Maison du peuple après trois mois d’intersession et de comptes rendus parlementaires, la nouvelle session a été axée sur la tolérance et la paix. Faustin Boukoubi a ainsi invité à l’unité nationale et à la préservation du vivre ensemble qui caractérise le peuple gabonais. Un discours prononcé devant l’ancien président du parlement arabe, fondateur de Parlement international pour la paix et la tolérance et président du Conseil global pour la tolérance et la paix.
Avec Ahmed Mohamed Aljrwan, Faustin Boukoubi a signé un mémorandum d’entente visant la promotion de la paix et de la tolérance. «Le Gabon est un havre de paix, depuis plusieurs décennies, au milieu d’un océan de troubles. Nous avons besoin de conserver le statut de havre de paix ; nous n’avons pas besoin de voir des Gabonais dehors, dans la rue, à se trimballer. Le peuple gabonais est foncièrement attaché à la paix», a déclaré le président de l’Assemblée nationale. Il fait savoir que le but de cette signature est de consolider la paix au Gabon, mais également de contribuer à la consolidation de la paix à travers le monde.
Le fondateur du Parlement international pour la paix et la tolérance rappelle que «le parlement, c’est le peuple». «Nous avons besoin de la culture gabonaise. La stabilité et la paix nous ont encouragés à signer par l’entremise du président de l’Assemblée nationale, cet accord pour travailler avec le Gabon et apprendre de leur vision», a-t-il laissé entendre.
Ahmed Mohamed Aljrwan représente 95 parlements, soit la moitié des parlements du monde. «Je pense mettre l’expérience du Gabon, de ce qu’on a appris des représentants de votre pays, au service des peuples», a-t-il ajouté.
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